Monsieur le Président,
Voici, pour information, un mot d’une clinicienne de notre École :
« Suite à ce que j’indiquais en supervision, j’ai rédigé ceci :
Il est à noter, comme effets des psychothérapies et des psychanalyses, que des économies sont réalisées dans le champ de la santé sous au moins deux autres formes :
– par la réduction des conduites à risques et des consommations d’alcool, de tabac et de stupéfiants, et donc la réduction des dépenses auxquelles ces comportements conduisent ;
– par la considération que le patient ou le psychanalysant va développer quant à son suivi médical. Nous observons que nombre de personnes retournent, à mesure que leur cure avance, voir leur médecin, qu’ils prennent au sérieux les symptômes dont ils souffrent, ne reculent plus les consultations et examens à réaliser, évitant ainsi les complications de leur état de santé et les dépenses supplémentaires que ces complications engendreraient.
Cordialement, ».